Feuilletez le nouveau Dijon-Beaune Mag spécial immobilier

Il n’invite pas à casser son PEL, mais bien à regarder nos styles de vies sous l’angle immobilier.  Au menu du Dijon-Beaune Mag n°63 : l’éco-construction pour la capitale régionale, le patrimoine réinventé par les gîtes et chambres d’hôtes pour le pays beaunois et, entre les deux, Nuits sous un nouveau jour après 10 ans de disette.

Edito extrait du Dijon-Beaune Mag nº63
Par Dominique Bruillot

L’avantage de vivre en province, c’est que rien n’est vraiment loin, même si on ne s’en rend pas toujours compte. Qu’est-ce que, finalement, faire une trentaine de kilomètres en voiture pour se rendre au travail, quand d’autres se cognent quotidiennement 2 ou 3 heures de RER et de métro, et tout ce qui va avec, les mines grises, le stress, l’anonymat, etc.

Et même si l’on choisit de vivre dans la future métropole qu’est Dijon, les champs et le grand air sont toujours à quelques pas. Savourons notre bonheur. Voilà pourquoi Paris n’est pas la France, en référence au titre de l’ouvrage d’un auteur bourguignon, Bernard Lecomte. Et la France n’est pas Paris. Le coût de l’immobilier, par chez nous, en est encore l’heureuse expression.

À travers les différents exemples de styles de vie que vous trouverez dans ce numéro, on se rend compte aussi à quel point l’art de vivre n’a jamais autant été associé à l’habitat.

La multiplicité des offres entre ville et campagne, semble pouvoir freiner une possible bulle immobilière dont les mégapoles ont le secret. D’autant que les banques, on nous l’affirme, sont prêteuses en ce moment et à taux bas. À travers les différents exemples de styles de vie que vous trouverez dans ce numéro, on se rend compte aussi à quel point l’art de vivre n’a jamais autant été associé à l’habitat.

Alors que le bois et l’éco-construction sont devenus des modèles d’avenir à Dijon, Beaune profite de son capital historique et touristique pour transformer nombre de ses jolies habitations en chambres d’hôtes. Entre les deux, Nuits-Saint-Georges semble tenir le bon rôle, tant la demande est forte pour y vivre. Un peu de ruralité dans ce monde en mouvement ne fait pas de mal. Peu importe le style choisi par chacun d’entre nous, « home sweet home » les amis!

Consultez le magazine en ligne :

[calameo code=004389147f2bda692e9db mode=viewer width=560 height=350]