Désormais porté par EcloLINK, son nouvel éditeur déterminé à poursuivre une extraordinaire aventure éditoriale, votre magazine DBM sort ses feuilles d’hiver. Deux dossiers spéciaux au sommaire, entre Hospices de Beaune et Audace d’Entreprendre. Soit deux couvertures sectorisées pour un même plaisir de lecture !
L’édito du n°110
par Alexis Cappellaro, rédacteur en chef
Ce numéro 110 de DBM est exceptionnel. Son précédent aussi, de fait. En juin, son éditeur historique, Studio.Mag, a tourné une page de presque vingt ans. Porté par une culture de la presse payante, dans le sillon fertile de son géniteur DB – j’en resterai aux pudiques et néanmoins affectueuses initiales –, notre (et votre) magazine gratuit a cultivé son idéal au service d’un territoire économique passionnant, au cœur de la Bourgogne.
En plus de cent numéros, Dijon-Beaune Mag, et maintenant DBM, ont partagé tant de choses, croisé tant d’acteurs, capté et retranscrit tant d’histoires, tout en associant deux clochers rivaux avec un ton bien identifiable. C’est l’audace de créer.
L’aventure continue. Spécialiste du webmarketing et de la communication, EcloLINK place le territoire et l’humain au sommet de ses valeurs. Le groupe constitué par Edouard Pihet (initiales EP) rayonne désormais de Dijon à Mâcon, à travers cinq agences et 35 personnes aux talents très complémentaires. Un pôle presse a du sens dans cette configuration.
DBM, c’est désormais un magazine saisonnier sur papier glacé, un média en ligne DijonBeaune.fr pour rythmer notre quotidien, mais aussi des contenus vidéos originaux sur les réseaux sociaux, avec de vrais reportages et un attachant duo de gourmets en goguette, Amo & Pajo. DBM se projette sur une zone de diffusion cohérente qui concernera, à terme, pas loin d’un million de Bourguignons. C’est l’audace de reprendre.
Ce numéro nous l’enseigne : à Beaune, les Hospices nés de l’esprit pieux de Nicolas Rolin et Guigone de Salins constituent un hôpital vigneron unique au monde. Chacun de ses acteurs, qu’il soit soignant, tâcheron ou acheteur, sait et sent que l’institution dépasse sa propre personne, son propre business.
À Dijon, en parlant de business, un festival de l’entrepreneuriat jouera sa deuxième partition le 9 décembre au Zénith de Dijon, pour exciter les vocations et, dans la grisaille ambiante, imaginer que le monde peut non seulement continuer de tourner, mais que le meilleur reste à venir. C’est l’Audace d’entreprendre.
Ce numéro est exceptionnel, les amis. Profitez-en jusqu’au bout. D’autres suivront, à un rythme saisonnier, avec une pagination qui laissera encore plus de place aux belles histoires de notre territoire. Quelle audace !
