DBM n°100 est disponible : « Beaune » anniversaire !

Votre magazine fête son centième numéro. DBM voyage notamment dans les coulisses beaunoises en marge de la 163e Vente des vins. Du collector à feuilleter dès maintenant et bientôt chez tous vos dépositaires habituels !

Un DBM numéro 100 collector avec nos « têtes de » devant la Cité de Beaune, signées Jean-Luc Petit.

L’édito de la rédaction

« Comment savoir garder les pieds sur terre et ne plus marcher sur la tête ? Après avoir conquis les marchés de proximité, féminin avec Dijon-Beaune Femmes, puis masculin avec Dijon-Beaune Hommes, Dijon-Beaune Mag naît pour apporter quelques éléments de réponse. C’est le résultat d’un projet lentement mûri, avec les moyens du bord, on ne s’en cache pas. Avec la foi aussi de l’indépendance, le soutien des lecteurs et des annonceurs. L’axe Dijon-Beaune a désormais son « news » de qualité, à son échelle, avec des sujets de société abordés dans un esprit constructif et lucide. » Daté d’avril 2009, l’édito de notre numéro 9 se passe de commentaire.

La lecture de cet acte fondateur fait quand même sourire aux entournures. Elle rappelle une époque où, pour contacter notre régie publicitaire, il fallait envoyer son courriel à [email protected], plus proche d’un site de rencontres que d’un contact commercial. N’essayez pas, l’adresse n’est plus active…

Une quinzaine d’années et quelques numéros plus tard, avec nos belles adresses mail, la team Studio.Mag fait nettement plus sérieuse. Elle est toujours aussi attachée à l’artisanat de la presse de territoire, contre vents et marées, car la vie d’un éditeur n’est pas un long fleuve tranquille (violons). Elle est semée de petits combats invisibles au bout desquels, à force de raconter la vie des autres, on en oublierait presque la sienne (re-violons). Mais de tout cela, cher lecteur, vous vous en fichez un peu. Et vous avez bien raison. L’exercice qui nous occupe – raconter sa propre existence dans un édito – a déjà trop duré, car on ne sait plus très bien où placer le curseur entre la pratique masturbatoire et la (fausse) modestie. 

Profitez donc de votre DBM sans plus tarder. En toute impartialité, ce numéro 100 en vaut la peine. Il navigue entre ses villes de prédilection, Dijon et Beaune. Ou plutôt Beaune et Dijon, dans cet ordre précis, car cette édition anniversaire fait la part belle à la Vente des vins et son âme hospitalière. Une petite partie du menu est réservée à la Foire gastronomique version Dijon Bourgogne Events, alias DBE (encore un acronyme !) qui, c’est promis, a trouvé une nouvelle recette pour se réinventer. Gourmande par nature et conscience professionnelle, la rédaction picore dans ces deux propositions territoriales complémentaires. D’ailleurs, depuis ce fameux numéro 9, elle a pris du poids, dans tous les sens du terme. Et a toujours la foi. Ainsi soit-il !


➔ DBM n°100 bientôt chez un dépositaire
près de chez vous (voir onglet « Où nous trouver ? »)