Essai Peugeot x Mulot & Petitjean : « Stan » au pays des nonnettes

Stanislas Meunier est attaché commercial auprès de la maison Mulot & Petitjean. En lien permanent avec le secteur des GMS, ce représentant a besoin de confort et de volume pour exercer son art, avec ce qu’il faut pour se sentir bien aussi. Le nouveau Peugeot 3008 hybride a tout cela en lui. Aussi agréable qu’une nonnette à croquer !

Arrêt de circonstance pour Stanislas Meunier, juste devant La Fabrique de pain d’épices et son espace muséographique, boulevard de l’Ouest à Dijon. « Le lieu dit tout de notre histoire, il est aussi un formidable support pédagogique », analyse-t-il avant de reprendre la route.

Chez « Stan », évidemment, il y d’abord cette barbe blanche. On lui en parle plus ouvertement que d’habitude, c’est la période qui veut ça. « Je ne compte plus les demandes d’animations de père Noël », badine notre essayeur du jour. Ce jeune quinqua l’a toujours portée ainsi – « plus ordonnée quand les coiffeurs sont déconfinés » – et cela colle assez bien au personnage soigné et sympathique, qui représente depuis dix ans la belle maison Mulot & Petitjean.

Stanislas Meunier est arrivé à Dijon pour développer les relations avec les grandes et moyennes surfaces, à une époque où tout était à construire, ou presque, sur ce point. Il y a quatre ans, son jeune collègue Romain, « une perle », l’a rejoint. Fabienne, « notre assistante clé », complète un dispositif agissant sur les secteurs BFC et Rhône-Alpes essentiellement, « avec une prédominance de l’axe Chalon-Dijon ». La petite équipe se partage environ 300 interlocuteurs, ce qui suppose une bonne connaissance du territoire et une attitude « au poil », dans le respect de produits aussi patrimoniaux. Vendre des nonnettes, qu’on se le dise, c’est aussi vendre une maison née en 1796 et, au bout du rayon, Dijon et sa gastronomie.

Mulot & Petitjean, esprit de famille

Installé en famille dans la plaine de Saône, Stanislas parcourt environ 60 000 km chaque année dans ce but. Il en voit, du pays. « J’ai commencé ma semaine dans la Nièvre, avec un petit détour par le Centre-Val de Loire ; le mardi à Dijon ; le mercredi dans la Drôme et l’Isère, auprès d’un propriétaire d’hypermarché qui nous est resté fidèle suite à son déménagement de Saône-et-Loire ; hier en région lyonnaise… » Son compagnon d’aventure est un 5008, le troisième d’affilée. « Ce que j’aime, c’est rouler sans être embêté. Avoir un véhicule qui a de la tenue, c’est toujours mieux pour une activité de représentation, mais pour faire régulièrement des salons et transporter du matériel, j’accorde beaucoup plus d’importance à la praticité. » Avec l’aval de sa dirigeante Catherine Petitjean, Stan en a fait l’expérience chez Peugeot Dijon il y a quelques années. « On m’a pris au sérieux, en me permettant de faire un essai – concluant – avec le coffre chargé, en situation. » Ce pragmatisme n’est pas tombé du ciel. Il lui vient d’un papa concessionnaire Renault. « Il m’a toujours dit de rester humble. À 16 ans, je faisais les pare-brises et m’occupait de la clientèle à la station-essence. J’en ai gardé la valeur du travail et l’esprit de famille, que je retrouve au quotidien ici. »

La nonnette, ici en format mini, est le best-seller de la maison Mulot & Petitjean. © Image & Associés

Au pied du sapin

Revenons à notre 3008 hybride, dont le silence ne manque pas de saisir Stanislas. « Il a 300 chevaux et pourtant, on a l’impression de rouler sur un nuage », dit-il, tout surpris aussi de bénéficier d’un siège massant dans la version la plus équipée du SUV. Testé et approuvé, y compris par l’auteur de ces lignes !

Cet essai, c’est aussi la confrontation de deux mythes régionaux. Mulot & Petitjean fêtera bientôt 225 ans d’une vie bien épicée. La marque au lion, elle, souffle ses 210 bougies, allumées par les frères Peugeot dans un vieux moulin d’Hérimoncourt (Doubs) qu’ils ont transformé en une fonderie, avec le destin que chacun lui connait. L’histoire plait à notre responsable commercial, toujours charmé par ce que peut provoquer le goût des traditions. Cette période a été « un peu rock’n’roll, mais la maison est solide ». Les fondations sont là, donc, et les fêtes ne seront pas gâchées. « Cet été, certains magasins situés dans des zones touristiques avaient peur du désert. Il a fallu parfois affronter des comportements frileux. Or les Français ont voyagé près de chez eux et consommé ! Pour les fêtes, nous avons retrouvé de la visibilité, ce sera la même chose », veut croire le professionnel, faisant au passage le pari que « les familles pouvant se réunir se feront un peu plus plaisir cette année, donc avec des produits de qualité, qui renvoient à l’excellence française ». Ceux de Mulot & Petitjean, consommés nature ou cuisinés, entrent incontestablement dans cette catégorie.

« Nous avons aussi développé une gamme spéciale de toasts : graine et son de moutarde, aneth, figues et noix », renchérit avec gourmandise le conducteur. C’est sûr, « il y a pire comme punition » ! Lui-même en fait profiter régulièrement son petit bonhomme de 6 ans. Il a bien raison. C’est l’âge où l’on se souvient pour toujours du goût des bonnes choses. Un peu tôt, cela dit, pour se voir déposer une nouvelle 3008 au pied du sapin. Au pays des nonnettes, le père Noël repassera…