Une bouteille de Saint-Véran remporte un prix pour son packaging à Londres

Mardi 21 mai à Londres, la cuvée Saint-Véran « Révélis » des Vignerons des Terres Secrètes a été distinguée lors des Drinks Business Design and Packaging Awards.

La cuvée Révélis des Vignerons des Terres Secrètes a été distinguée aux Drinks Business Awards pour son design original, en rupture avec le modèle bourguignon.

Publication d’envergure internationale sur le commerce des boissons, The Drinks Business est une institution très suivie chez les professionnels du vin. Mardi 21 mai, dans le cadre de la London Wine Fair, elle organisait son désormais célèbre Design and Packaging Awards. Une bouteille bourguignonne s’est distinguée parmi toutes : un Saint-Véran cuvée Révélis.

Révélis est un projet de micro-cuvée de chardonnay sur l’appellation Saint-Véran, élaboré par les jeunes vignerons de la cave des Vignerons des Terres Secrètes, désireux de produire un grand vin de terroir et de mener un travail de fond sur l’emballage.

Une reconnaissance de plus pour cette cave coopérative basée à Prissé, dans le Mâconnais, qui fédère 120 familles vigneronnes et prend soin de quelque 900 hectares de vignes (dont 239 ha en Saint-Véran, ce qui en fait le premier producteur de l ’AOC).

Edition limitée à 1800 bouteilles

Cette cuvée limitée à 1800 bouteilles numérotées a été récompensée pour son contenant innovant, imprimé numériquement, conçu par Médiane Création et produite en France par le verrier O-I.

Charles Lamboley, le directeur de la communication et du marketing des Vignerons des Terres Serètes, s’est dit ravi de cette distinction sur le plan international : « Une magnifique récompense qui couronne et valorise le travail des vignerons et la collaboration entre notre cave et le verrier français O-I. »

Le jury, composé d’experts internationaux du design et du packaging, a été unanime quant au choix de la cuvée bourguignonne. « Tous ont souligné la qualité du design global, l’éco-conception du packaging (pas d’étiquette, technique d’impression digitale et le fait d’enlever la bandelette qui mentionnait la numérotation des bouteilles sur les précédents millésimes), le fait d’oser proposer un design en rupture pour une bouteille de Bourgogne« , apprécie enfin Charles Lamboley.